Bonjour à tous, et désole pour le manque d’article durant les fêtés !
De retour donc avec plusieurs articles qui vont se succéder aujourd’hui et ce week-end.
Je commence donc par un article’ sur les portes.Pourquoi les portes, c’est bidon les portes !Et bien non ! Je me suis rendu compte en Iran que les portes que ce soit d’immeubles, de maisons, de granges, de greniers, et même dans les mosquées, qu’elles soient en ruines ou en bon état, avaient quelque chose de sentimental et de terriblement touchant. Une porte c’est par où on entre et on sort, c’est l’intermédiaire obligatoire de toute découverte et et de chaque rencontre. Quand au pense au coté très accueillant des iraniens et à leur passion pour les moments conviviaux entre amis ou en famille, on réalise a quel point une porte peut ici être le symbole de beaucoup de choses. Il est des portes qui ne servent pas à grand chose, dans des lieux sans vie qui n’ont pas été construit pour être vivants mais pour fermer, cacher, pour enfermer aussi. Dans ce cas là les portes sont souvent métalliques, blindées ou à barreaux. Elle ne portent aucune traces du temps social. Mais il en est d’autres qui sont marquées par le temps, marquée par le nombre de mains qui les ont poussées, tirées, par ceux qui sont passé dans l’antre, qui se sont adossés, bref des portes qui ont vécu et qui ont du vécu. Ça c’était pour le coté phylo-psycho !

A part cela, j’ai trouve de très belles portes souvent en bois avec de gros clous qui ornent les structures tantôt et qui revelent le temps qui est passé à coité d’elles. Certaines etaient en ruines, souvent en ruiçnes d’ailleurs, mais toujours cette impression touchante d’être abandonnée, dernier rempart contre le temps qui passe, dernier rappel d’une époque révolue, celle de la joie de vivre et des moments perdus. Comme le temps avait laissé sa trace.

A vous d’en juger !

Ps : si vous avez vous aussi une collection de portes, n’hésitez à me les envoyer !A demain !Paul